Les
enfants du Tibet, de l'exil à l'espoir (52 mn)
Nouveau
Les villages d'enfants tibétains
forment la principale institution du Tibet en exil. Elle a été
fondé par le Dalaï Lama en 1960 suite à
l'nvasion du Tibet par la Chine en 1950, et l'exil de plus de
150 000 Tibétains en Inde en 1959.
Ils sont si importants à ses yeux
qu'il en a confié la direction à une de ses sœurs. Ce sont de
véritables villages dans les villages. Ils sont affiliés à
l'organisation internationale «SOS villages d'enfants». Elle
leur permet d'accéder au système de parrainage de
l'éducation des enfants par des marraines et parrains du
monde entier, car les parents n'ont, pour la plupart, pas les
moyens de leur payer une scolarité. Il en existe une douzaine à
travers l'Inde qui accueillent plus de 6 000 écoliers de 3 à 18
ans.
Nous découvrirons deux d'entre eux,
celui de Dharamsala, le plus important et le plus ancien (c'est
aussi leur capitale où vit le Dalaï Lama), ainsi que Choglamsar
au Ladakh, en plein Himalaya, à la frontière du Tibet colonisé
par la Chine. Dans ces deux villages vivent 2 500 écoliers. La
plupart sont hébergés dans des maisons familiales d'accueil. On
y vie en autonomie complète. Les élèves étudient, jouent, mais
travaillent également. Les enfants se prennent en charge
sous la supervision de l'aya, leur deuxième mère. On y fait le
ménage, prépare le petit déjeuner. On y fait même du jardinage
pour agrémenter l'ordinaire. Nous ferons la
connaissance d'une famille avec ses trois générations qui
vivent sous le même toit.
Nous partagerons également la vie
quotidienne des Tibétains. Nous assisterons aux fêtes du
Losar, leur Nouvel An, à la commémoration annuelle du drame
tibétain le 10 mars 1959, une révolte face à l'envahisseur
chinois qui se termina dans un bain de sang. Au Ladakh, nous
vivrons l'arrivée de Sa Sainteté le Dalaï Lama
ainsi que sa visite exceptionnelle au village d'enfants.
Dans ces villages où l'on offre aux
écoliers une éducation complète, leur adage «Venir pour
apprendre, partir pour servir», n'est pas une vaine formule,
mais que deviennent-ils à la sortie de cette institution?
Ladakh, le
progrès en route
(52 mn)
Nouveau
Le Ladakh souvent appelé petit
Tibet, enclavé dans le nord-ouest de l’Inde, est un ancien
royaume indépendant d’origine tibétaine. Très isolé en plein
Himalaya, aux confins du Pakistan, de la Chine et du Tibet, il
ne s’est ouvert au monde qu’en 1960 avec la percée de sa
première et une des plus haute route de la planète, route de
tous les dangers! Ce n’est qu’à partir de 1974 qu’il sera
accessible aux touristes. Ainsi, en une quarantaine d'années, le
Ladakh est passé de l’ère des caravanes de yaks à celle
des convois de 4X4!
Haut et froid plateau à plus de 3 000m, c'est un désert minéral.
Il a toujours été victime du manque de pluie et de neige. Comme
partout, il doit maintenant faire face au réchauffement
climatique et au recul des glaciers. Comment les ladhakis
font-ils pour s'adapter à cette aridité et cultiver leurs
champs?
Des ingénieurs ont mis au point des techniques pour
stocker l'eau sous forme de glace en hiver, tel Sonam
Wangchuk qui a ainsi commencé à verdir le désert avec des
plantations de milliers de saules et de peupliers. Secmol, une
école pilote, innovante, écologique, humaniste, unique au Ladakh
et peut-être en Inde, sera le fil conducteur du film.
Nous découvrirons le pays au fil des saisons pour mieux nous
imprégner de son environnement et de ses habitants. Sa culture,
à travers sa musique, ses danses, ses fêtes et rituels
bouddhistes de monastères, à travers son habitat, son
architecture traditionnelle. Découverte de sa culture sportive
avec le polo et le hockey sur glace. Leh, sa capitale de 50 000
habitants, la seule ville du Ladakh est un concentré de tous les
excès du modernisme. Une rencontre exceptionnelle avec Sa
Sainteté le Dalaï Lama
venu donner des enseignements de Sagesse.
Les changements, le
modernisme, le «progrès» bousculent de plus en plus les
traditions, mais ne les ont pas encore fait disparaître ; car
grâce à quelques visionnaires, le Ladakh
semble sur la voie d'un véritable progrès
adapté au contexte du pays, parce qu'il le vaut bien.
Maramures, la
civilisation du bois
(52 mn)
Au nord
ouest de la Roumanie se cache la région la plus authentique du
pays : le Maramures.Il incarne la
civilisation du bois avec ses forêts qui couvrent près de 50% de
la région. On le trouve partout, de l'église à l'habitat, de la
croix à l'imposant portail. Ici, la chaleur du bois le dispute à
celui du charme et de l'accueil.
Au fond de ses multiples
vallées se dissimulent des trésors méconnus. Forestiers,
menuisiers et sculpteurs sur bois animent les villages. Même si
le béton envahit souvent le paysage, on construit encore des
églises en bois du plancher au sommet de leurs flèches, avec des
toitures garnies de dizaines de milliers de tuiles en bois bien
sûr. L'habitat se distingue par son portail monumental en bois
massif, signe de réussite sociale.
Les villages sont l'âme
du Maramures.
Ils abritent 40% de la population. Si on y vit modestement, on
respire encore au rythme des saisons et de la nature. Le cheval
bien que très menacé par la mécanisation, se fait encore
remarquer sur les routes et dans les champs. Il y a tous les
jours un marché quelque part, coeur commercial et social des
villages avec ses couleurs locales.
Le joyau du Maramureş
est sans nul doute le cimetière musée des traditions
populaires de Săpinţa,
dit «joyeux». Dans la vallée de la Vaser, à la frontière de
l'Ukraine serpente le dernier chemin de fer forestier d'Europe ;
il alimente en bois toute la Roumanie.
La région est riche de
ses fêtes religieuses très respectées : Pâques où l'on revêt le
costume de toujours, on confectionne un pain spécial, on décore
les œufs de végétaux. A Noël, on chante des colindés, des
acteurs jouent la Nativité du Christ. Diverses fêtes marquent
les saisons où musique, chants et danses puisent dans le riche
répertoire du Maramureş.
De retour en hiver, c'est
un paysage enchanteur que l'on retrouve sous son fin linceul
blanc. Sous le soleil, la neige et le bois sont un régal pour
les yeux. Avant Noël, c'est l'époque où l'on tue le cochon, où
l'on distille la tuica, eau de vie de prunes ou de pommes. Par
tous les temps, on va encore chercher du foin entassé en meules
sur les collines.
Menacé par la
mondialisation, le Maramures terre de traditions saura t'il
sauvegarder son authenticité face à la montée du modèle
standard?
Les Maîtres
de l'Esprit (52 mn)
A Dharamsala, dans le nord ouest de l'Inde vit
une importante communauté tibétaine en exil, comme il en existe
des dizaine d'autres à travers le pays, suite à l'invasion du
Tibet par la Chine en 1950. C'est la capitale et le cœur du
Tibet en exil, car c'est ici que réside le Dalaï Lama, le chef
spirituel de 7 millions de tibétains. Sous sa direction
éclairée, les principales institutions détruites au Tibet y ont
été rétablis, avec la plus importante, les nouveaux villages
d'enfants, où l'on éduque les plus jeunes dans la
tradition tibétaine, en plus d'un enseignement moderne.
Autour du Dalaï Lama vivent des centaines de
moines et de nombreux grands Maîtres qui consacrent leur vie à
l'étude, la prière et la méditation. Ce sont des Maîtres de
l'Esprit.
Nous partagerons le quotidien de cette communauté
rythmé entre labeur, manifestations, fêtes (Nouvel An, festival
d'opéra) et recueillement au gré des événements joyeux ou
dramatiques. Découverte du quotidien des jeunes moines
bouddhistes partagé entre études, débats et prières. Nous
assisterons à un rituel de transe, très rarement filmé,
de l'Oracle du Tibet, un médium visionnaire. Nous
écouterons Sa Sainteté le Dalaï Lama lors d'un de ses
enseignements de Sagesse. Découverte également des richesses de
l'art et de l'artisanat tibétain.
Cette communauté, malgré ses conditions de vie
précaires conserve encore, après quelques 60 ans d'exil, un
forte cohésion sociale, une forte identité et cultive la non
violence grâce au bouddhisme. Elle possède une force qu'elle
puise dans celle de leur guide spirituel suprême, le Dalaï Lama,
le grand Maître de l'Esprit. C'est à une réflexion sur une
philosophie à portée universelle que vous convient ces
images. Une philosophie qui creuse son sillon dans un monde
tourmenté en recherche de repères et de sens.
Népal, les routes du progrès (52 mn)
En une génération, le Népal a beaucoup changé. L'ancien royaume
se dilue inexorablement dans le nouveau monde. C'est en 1980 que
j'ai découvert ce petit pays de 250 000 km2 coincé entre Inde et
Tibet. Plus de trente ans après, j'ai eu du mal à le
reconnaître. A l'époque, c'était un royaume hors du temps, au
charme suranné, figé, à l'image du grand Himalaya. Depuis lors,
surtout ces dix, quinze dernières années, il a pris l'avion de
la mondialisation en vol. L'accélération a été brutale.
Royaume enclavé, autarcique, ce n'est qu'en 1950 qu'il s'est
ouvert sur le monde et qu'il a tracé ses premières routes. En
1980, il ne comptait encore que 3 500 km de routes pour plus de
20 000 de nos jours. A Kathmandou, le trafic routier est devenu
démentiel, faisant de la capitale une des villes les plus
polluées au monde. C'est l'Himalaya pourtant réputé
infranchissable qui connaît le plus grand chamboulement depuis
le début du 21° siècle. Des pistes rocailleuses plutôt que
routes sont partit à l'assaut de la grande muraille.
Si elles perturbent parfois le trekking roi au Népal, comme
autour des Annapurnas,
elles changent radicalement la vie des populations montagnardes.
L'arrivée de la route dans des centaines de villages a largement
amélioré leur niveau et qualité de vie. L'accès aux
dispensaires, aux écoles, etc.....est grandement facilité. Les
distances qui avant se comptaient en jours de marche se résument
maintenant en heures de bus. Même les porteurs emblématiques du
Népal ne se plaignent pas vraiment de la concurrence des
véhicules qui sont encore loin de pénétrer partout.
Les routes du progrès sont accueillis à bras ouverts, mais
sauront-elles enrayer l'exode rural?
un véritable drame national. Exode vers la capitale et surtout
l'étranger.
Par ailleurs, nous découvrirons
les fêtes et richesses du toit du monde
avec le Nouvel
An
et
Dasain
que nous fêterons dans la famille de Ram Puri, notre guide et
ami, la récolte du riz en octobre. Au détour des routes et
chemins de traverses, apparaîtront quelques uns des plus beaux
villages du pays qui, avec le grand Himalaya font encore et
toujours du Népal
un pays magique.Les
nouvelles routes du progrès ont beaucoup changé l'ancien
royaume, mais son charme opère encore.
France Tibet, une
histoire de dignité (52 mn)
Cette
histoire a démarré en mars 1959 avec le début de l’exode
de dizaines de milliers de Tibétains vers l’Inde à la suite de
leur guide spirituel, le Dalaï Lama. L’invasion du Tibet
par la Chine produisait ses ravages.
En Inde, pays pauvre et surpeuplé, ils ont bien du mal à vivre.
Les Tibétains vivotent dans la restauration, l’artisanat et
surtout le petit commerce de trottoir. Une française, peut-être
la seule dans son domaine, s’est mis en tête de leur fournir du
travail. Son nom : Germaine Rollandin, une humaniste
rare, dotée d’une volonté hors du commun entretenue par des
idées fortes.
Ainsi, avec l’association « Tendrel Solidarité » qu’elle
a créé, elle a bâtie Namlang Himal, un petit village de
vacances dans le nord ouest de l’Inde près de Dharamsala.
Ecovillage qui emploi une vingtaine de personnes : tibétains
et indiens ; ceci afin de favoriser une bonne entente entre les
deux communautés.Après nous avoir fait découvrir son domaine
qu’elle a voulu écologique, Germaine nous fera part du sens de
sa démarche, du mode de fonctionnement du village et de ses
projets encore nombreux. Nous rencontrerons les habitants de
Namlang : touristes et personnel qui le font vivre et l’animent
à travers diverses activités.
Détour par le Népal ou Germaine a déjà fondé un atelier de
couture et de bijouterie. Côté festif : le Losar, Nouvel An
tibétain, ainsi que Diwali, festival des lumières
hindou, puis ce sera la fête anniversaire du village. Autre
évènement, la commémoration par les Tibétains du drame du 10
mars 1959.
Ainsi, grâce à sa ténacité, Germaine aura atteint son but ;
plutôt que vivre d’assistanat, elle aura permis à des Tibétains
de vivre dignement de leur travail.
Nomades, la génération d'après
(52 mn)
Au Ladakh
indien, quelques milliers de bergers nomades ladakh pa et tibétains
poussent encore leurs troupeaux à plus de 4 500m, en plein Himalaya. Sur
les hauts plateaux, une mutation vitale est en cours.
Une tradition millénaire va-t’elle se perpétuer ou s’éteindre ?
C’est
avec la famille tibétaine de
Tashi Palgor
que nous
vivrons les profonds changements actuels. Père de six enfants, quatre
ont la chance de faire des études dans des villages d’enfants tibétains
réfugiés en Inde. Deux seulement restent au campement, précieuses aides
pour leur parents.
Nous
suivrons une de ses filles
Tashi Dolma,
14 ans, qui étudie dans une école tibétaine à Choglamsar et vie dans un
village d’enfants. Nous découvrirons
le rude quotidien dans les campements,
ponctué d’une grande puja annuelle, ainsi que d’un
enseignement exceptionnel de Sa Sainteté le Dalaï Lama.
Retour en hiver
pour
témoigner des très dures conditions himalayennes surtout chez les
nomades du toit du monde où l’on vit sous la tente même par 30°
sous zéro
entre
survie et sursis !Quand
le rêve nomade tourne au cauchemar !
La
nouvelle génération, surtout ceux qui font des études,
poursuivront-ils une telle activité,
aussi rude malgré de meilleures conditions matérielles, avec des revenus
aussi aléatoires ?
Le Sage du bout du
monde (52 mn)
Il était
une fois un village caché dans les replis de l’Himalaya, au bout du
monde, au bout du Ladakh indien,
Hémis Schupachan.
Dans ce
village préservé, on rencontre encore quelques « vieux » Sages ;
Tsering Namgyal
est l’un
d’entre eux. Instituteur et agriculteur, il a vécu toutes les grandes
mutations du Ladakh contemporain.
En 62 ans
d’existence, il l’a vu passer de l’ère des
caravanes de yaks
à celle
des
convois
de 4x4
et des
téléphones portables. Il l’a vu rentrer brutalement dans le 20°
siècle lors d’un conflit frontalier entre Chine et Inde, avec
l’arrivée massive de militaires,
et la construction de la première route du désenclavement. Il a vu
arriver les
premiers touristes
dès 1974.
Deux évènements majeurs qui ont bouleversé la vie des Ladakh pa non
préparés à un tel afflux.
T.
Namgyal nous fera part de ses réflexions sur le monde occidental et
ladakhi, réflexions pétries de bon sens.
Nous
découvrirons l’arrivée de la
route du progrès
à Hémis
Schupachan, la vie quotidienne au village. Nous suivrons T. Namgyal dans
son école et dans les champs pour les moissons d’orge estivales et
ferons connaissance de sa famille, de ses deux petits enfants à qui il
transmet son savoir. On le retrouvera à Leh, la capitale, trop tapageuse
à son goût, et même lors d’un enseignement exceptionnel de
Sa Sainteté le Dalaï Lama.
De retour
en hiver, par un froid polaire, nous le retrouverons à l’occasion du
losar, le nouvel an ladakhi,
aux rites encore très respectés à Hémis Schupachan.
Homme de
bon sens, il est fier de son village qu’il n’a jamais quitté,
authentique et loin de l’agitation de Leh.
Il rêve de concilier modernisme et tradition.
Maramures,
éloge du village roumain
(80 mn)
Il était une fois, aux confins de la
Roumanie et de l’Ukraine, une
région bénie des fées, où le temps n’était pas compté :
le Maramures, au parfum d’amour et d’eau fraîche. Dans cette Roumanie “maudite”
qui n’intéresse les médias occidentaux que par ses travers, ses misères, il se
cache pourtant une richesse ignorée : ses villages, tout particulièrement ceux
du Maramures. Villages qui abritent
l’esprit du pays
et cristallisent les éloges de ses
plus grands poètes qui ont tous été marqués dans l’âme par leur enfance au
village.
Labeur paysan incessant la semaine
durant , mais dimanches partagés entre offices religieux et fêtes ; fête de la
musique de village
par exemple, perpétuée par des orchestres de
paysans musiciens,
fête des
traditions d’hiver.
Le Maramures est le pays de la
civilisation du bois
que le dernier train à vapeur du pays va chercher au
plus profond des forêts. Portails monumentaux, délicates églises de fine
dentelle et extraordinaire cimetière musée de Sapinta en sont les témoins de
prestige. En ces lieux, on respire l’esprit de solidarité, de tradition, tout
particulièrement lors des fêtes de
Noël, Pâques,
pélerinage du 15 août,
montée des
troupeaux à l’alpage,
mariage, où l’on ressort les costumes de toujours encore
parfois revêtus au quotidien.
Villages, gardiens de la
sagesse populaire
et rescapés de la dictature, survivrez-vous à la
tyrannie du village mondial?!!
Ladakh tibétain , la route du progrès
(80 mn)
Le Ladakh souvent appelé
petit Tibet, enclavé dans le nord-ouest de l’Inde, est un ancien
royaume d’origine tibétaine. Très isolé au cœur de l’Himalaya,
il ne s’est ouvert au monde qu’en 1960 avec la percée de sa
première et plus haute route de la planète, route de tous les
dangers ! Ainsi, en quelques années, le Ladakh est passé de
l’ère des caravanes de yaks à celle des 4X4 !
A travers les images, nous
voyagerons dans l’espace et surtout le temps : des temps
éternels du quotidien paysan, des fêtes du Nouvel An, des
danses sacrées de monastères, des concours de tir à
l’arc……aux temps modernes agités, avec l’évolution de
l’éducation scolaire, de la condition féminine, les
nouvelles technologies, cricket et hockey sur glace.
Le modernisme bouscule de plus en plus la tradition, mais ne l’a
pas encore fait disparaître. Comment les Ladakhis font-ils face,
assimilent-ils cette avalanche de changements
qu’on appelle le progrès,
imposé plutôt que proposé ? Leur apporte-t’il le bonheur ?!!
Tibet, la longue marche
(52 mn)
Depuis 1950, le
TIBET vie une tragédie suite à un combat impossible : celui de
l'ogre chinois contre le poucet tibétain. Le drame a commencé en
1950, et plus d'un demi siècle après, il persiste encore face au
mur du silence, de l'indifférence du monde.
Dès 1959, c'est
l'exil vers l'INDE. Il sont maintenant plus de 200 000,
dispersés aux 4 coins du sous-continent et même de la planète. A
Dharamsala, au pied de l'Himalaya, s'est reformée la capitale du
TIBET en exil autour du Dalaï Lama. Réfugiés en terre hindouiste
depuis 2 générations, acculturés, les Tibétains sont de plus en
plus menacés de perdre leur identité. La majorité d'entre eux
est née en exil et n'a jamais connu le TIBET. Identité d'autant
plus menacée qu'ils sont noyés dans un océan de plus d'un
milliard d'Indiens.
Nomades land,
la vie rêvée
des bergers de l'Himalaya (52 mn)
Au delà du rêve de
l'homme libre, ce documentaire montre ce qu'est la réalité des bergers nomades
des hauts plateaux du Ladakh indien, été comme hiver.Vie monotone,
rythmée par les troupeaux, parfois animée par une grande puja qui réunit dans
une même ferveur toute la communauté.
Esprit de solidarité, où, les
Ladakh pa partagent pâturages et points d'eau avec des
Tibétains exilés en INDE depuis l'invasion de leur pays par la CHINE en
1950. Un médecin, un ou deux instituteurs
viennent en été dispenser gratuitement soins et savoir à une communauté qui ne
dispose que de bien faibles revenus.
Leur seule ressource : la laine, surtout la
fabuleuse pashmina, hélas vendue largement en dessous de sa
valeur.
Commande : 27 € + 3 € de port.
R. CHARRET, 4 bis rue de Chavassieux 42000 - SAINT ETIENNE
Tél. 04.77.21.05.09
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